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==================== =>amazigh les kabyl ect...<============= ========

Photo de ghilesleK-byl

ghilesleK-byl

Description :

Planette: Terre
continent: Afrique du nord
présizément: Magrheb
pays: Algérie
partie du pays: ds les montagn (bèrbère)
ville: laarba nat irathen et tizi-ouzou

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Azul flawen.Bienvenu sur mon skyblog ki est fais pour tou les bèrbères . Tou dabord viv amazigh vivi la JSK bsx a toute ma mif en kabylie et a tou mes cop et cop's bèrbèrs ke jador . Bonne visite sur mon sky et lachez voc com's en metten vo nom vo vrai merci !!!!!!!!!!!
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#Posté le vendredi 16 février 2007 07:27

MOI(en mode jsk)

ba me vla jmaapel Ghilès chui dorigin
kabyl je suporte tjr la JSK ke jador
lachez vo com's!!!!!!!!!!

description:
Nom:.....
Prenom:Ghilès
date de naissance: 28/06/1995
couleur de cheuveu: noir
couleur des yeux: un peu vers
taille: 1m53cm
sport favori: foot
sport pratikan: foot
ékipe farorite:jsk
ékipe suporter:jsk lyon barcelon
hoobies: msn télé et surtou le foot
rève: footbaleur professionnel
prendre exemple sur: Zdiane
si rève sans succè: Chef dantreprize de recherch sientifik
lieu de résidence: Lyon
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#Posté le vendredi 16 février 2007 14:34

Modifié le samedi 17 février 2007 01:32

larbaa nath irathen,Les chemins qui montent, montent...(la ville de mon père)

ske jaime pa dessu tou la ba c ke c tellment petit ke tu connai tou le monde .
“Oh ! Larbaâ Nath Irathen, quel que soit l'endroit d'où je t'abordes, je me retrouve face à une montée”. MOULOUD FERRAOUN


A Larbaâ Nath Irathen. Anessi imekigh d'Hassaoune, ce proverbe dans toute sa simplicité décrit avec une extraordinaire précision la position et le lieu dans lequel la région de l'ex-Fort National se situe et dont même Mouloud Feraoun s'est fait l'écho dans son mémorable roman Les Chemins qui montent.

Larbaâ Nath Irathen est située dans une région appelée communément la “haute Kabylie”, cette dernière offre l'image d'un terrain escarpé, abrupt, raviné avec des vallées sauvages et encaissées où les terres assoiffées contrastent avec les régions verdoyantes.

Au centre du pays, comme une ossature puissante, s'élève le majestueux massif du Djurdjura. Dans le silence apparemment sans vie des espaces, ces très hautes montagnes abritent une multitude de villages, puisque le Djurdjura est la plus importante zone de peuplement de Kabylie. Cette population est fortement concentrée dans de nombreux villages et hameaux accrochés aux flancs de montagnes ou sur des versants abrupts avec de très fortes pentes, ce qui entraîne bien des difficultés quant à leur viabilisation et autres actions à caractère d'aménagement.

Le massif jouit d'une pluviométrie abondante et assez importante, ce qui a accentué la décomposition assez profonde des sols entraînant ainsi la faiblesse des ressources agricoles.

Larbaâ Nath Irathen est l'une des communes les plus défavorisées par la nature, la densité anormalement élevée et l'absence d'activité industrielle ; des facteurs qui font que la région constitue un réservoir de main-d'œuvre qui a atteint depuis très longtemps son taux maximum d'occupation possible, à cette situation une seule solution semblait possible aux riverains, l'émigration vers d'autres cieux.

Cette commune éminemment montagneuse présente toutes les caractéristiques apparentes d'une région économiquement sous-développée pour ne pas dire pauvre. Une pauvreté qui n'est pourtant pas originelle, la pauvreté chronique jusque-là a été conjoncturelle car il est certain que cette région n'a pas été mise en valeur, on s'est toujours contenté de l'administrer sans jamais essayer de s'occuper d'autres choses.

L'on pourrait très aisément déduire les causes de ce sous-développement, un déséquilibre assez pesant entre le volume élevé de la population et l'insuffisance des moyens de subsistance, donc des ressources économiques, insuffisance voire l'inexistence de la production agricole et une industrie jamais connue. Cependant et en dépit d'une situation géographique très défavorable, aujourd'hui un des traits originaux de la Kabylie est l'importance de l'urbanisation, ainsi Larbaâ Nath Irathen est à présent une agglomération importante dans sa région de part son statut de chef-lieu de daïra, ses services, son grand souk hebdomadaire., etc.

La commune de Larbaâ Nath Irathen est située à environ 27 km du chef-lieu de la wilaya de Tizi Ouzou, ces deux dernières sont reliées par la RN n°15 à son origine à la RN n°12 (Alger - Tizi - Azazga - Béjaïa). La route numéro 15 passe respectivement par Irdjen, Larbaâ Nath Irathen, Aïn El Hammam et le col de Tirourda.

Alors que 127 km sont la distance qui sépare Larbaâ de la capitale Alger.

La commune de Larbaâ Nath Irathen est encadrée administrativement de plusieurs autres communes : au nord la commune de Tizi Rached, au nord-est la commune d'Aït Oumalou, au nord-ouest la commune d'Irdjen, au sud de la commune de Béni Yenni, au sud-est la commune d'Aït Agouacha et au sud-ouest la commune d'Aït Mahmoud.

Larbaâ Nath Irathen est une région montagneuse aux reliefs souvent très abrupts, aux versants ravinés où les surfaces plates sont presque inexistantes.

A Larbaâ, les altitudes sont très variables donc la plus haute atteint 1 065 m au village Aboudid, les sommets des contreforts sont couverts de villages serrés à population très dense.

Elle s'étale sur une superficie de 39,37 km2 et compte 29 343 habitants (dernières statistiques de 1998) que se partagent 22 villages et hameaux.

La distance aérienne de la mer n'est que de 30 km environ, bien qu'elle n'influe sur le climat de la région que très peu. Cependant, l'influence de l'altitude est beaucoup plus importante, qui lui procure un climat assez rude et humide.

Dans la région, on enregistre sept mois pluvieux avec une intensité plus ou moins importante, avec une fréquence régulière d'un jour de pluie sur trois jours. Ces jours de précipitations enregistrent en moyenne 10 mm ou plus. Trois autres mois, ceux d'intersaisons : mai, juin et septembre sont aussi relativement arrosés, tandis que la sécheresse se fait lourdement sentir uniquement sur les deux mois d'été : juillet et août.



Aperçu historique sur l'agglomération

La région des Ath Irathen est très riche en histoire, de par sa farouche est vaillante résistance face au colon français.

La conquête de la Kabylie par les troupes de l'armée française s'est révélée une opération très difficile à accomplir, qui ne s'acheva tout de même pas qu'en 1857 par la fameuse prise de la crête d'Ichariden, un hameau de la confédération des Ath Irathen.

C'est une de leur retraite la plus difficile à aborder et la plus facile à défendre.

Les colonnes françaises s'élançaient pour la première sur les contreforts des Ath Irathen un certain 24 mai 1857. C'était un jour de l'Aïd, le jour où les Kabyles et les musulmans en général célébraient la rupture du jeûne, à la fin du mois de carême (le Ramadhan).

Ichariden, comme tous les villages kabyles est une petite bourgade qui prendra le nom de Larbaâ Nath Irathen. La conquête de ce petit monticule le 24 juin 1857, soit un mois après les premières tentatives d'incursions, allait dans un premier temps se traduire par le déracinement des habitants de cette région d'Ichariden et qui furent transplantés dans la région de Tizi Rached à un endroit qui porte encore le nom de la vieille cité détruite par les troupes coloniales du Maréchal Randon.

La crête d'Ichariden, jugée dominante et stratégique par l'état major français fut donc occupée pour l'installation permanente d'une garnison et le lendemain même de leur première victoire et la soumission des Ath Irathen, les troupes s'arrêtaient dans leur marche offensive, le fusil faisait place à la pioche.

En moins de trois semaines à travers des obstacles inouïs et incontestablement sans précédents, l'armée perçoit entre Tizi Ouzou et l'emplacement choisi pour Fort Napoléon, une voie carrossable large de 6 mètres.

Et c'était en juin 1857 que Fort Napoléon fut construit de manière à servir non seulement comme point d'occupation mais au besoin, comme base d'opération. C'est ainsi que, dans son article relatif au mot “Fort Napoléon” on distingue dans une des vieilles éditions des encyclopédies Larousse, les informations suivantes :

“Fort Napoléon, commune d'Algérie (département Alger, arrondissement Tizi Ouzou, 9 321 habitants”.

Fort National, appelé d'abord Fort Napoléon, fut construit par le Maréchal Randon en 1857 au centre même de la Grande Kabylie, qu'il s'agissait de dompter au lieudit en arabe Souk el Arba, Béni Irathen (le marché du mercredi des Béni Irathen) à une altitude de 930 mètres, elle assure la soumission de cette région turbulente et surpeuplée.

Au début de la colonisation et dès le 11 septembre 1873, Larbaâ Nath Irathen fut désignée comme une commune en plein exercice sous un haut commandement militaire.

Au départ donc, la ville de Larbaâ Nath Irathen fut réalisée comme un fort avec toutes les caractéristiques des villes garnisons de cette époque, c'est-à-dire construction d'une caserne, des écuries pour la cavalerie et quelques maisons d'habitation vraisemblablement destinées aux familles des officiers.

La ville, selon le modèle de toutes les forteresses militaires à caractère défensif, a été ceinturée d'une épaisse muraille dont la conception rappelle à elle seule à bien des égards les fortifications moyenâgeuses de châteaux fort. La porte muraille édifiée pour la défense de la garnison était pourvue de meurtrières.

La ville de Larbaâ Nath Irathen était sans aucun doute condamnée à un figement définitif puisqu'elle représentait pour la colonisation aucun intérêt dit important. Dans sa structure et sa dimension originale, elle répondait d'une façon admirable à sa fonction de sentinelle qui veillait sur la tranquillité des colons installés sur les riches plaines de Tizi Ouzou et de la Mitidja.



L'arboriculture : seule production agriculture

L'olivier fait partie de l'identité des peuples méditerranéens. A Larbaâ Nath Irathen, l'huile d'olive colle à la définition du paysan de la région. Il est vrai que les wilayas de Kabylie concentrent à elles seules les 2/3 du verger national oléicole ! L'oléiculture qui caractérise cette région est malheureusement une agriculture de montagne où la rusticité de l'olivier demeure un faire-valoir des terres arides, en pente et souvent incultes. C'est en Kabylie que l'oléiculture a été sauvegardée, là où le savoir-faire s'est transmis depuis des millénaires. Dans les montagnes de l'ex-Fort National, la vie du paysan s'est toujours confondue avec celle de l'olivier. Durant les 30 ans qui ont suivi l'indépendance, l'oléiculture fut abandonnée et le paysan livré à lui-même. Malgré une prise de conscience salvatrice, quoique tardive, l'évolution des plantations est insignifiante. La plantation de ce valeureux arbre reste très timide et n'arrive malheureusement pas à remplacer les pertes dues aux incendies, à la vieillesse et aux multiples maladies. Après l'Indépendance des choix politiques en matière de développement avaient sacrifié l'oléiculture ! Au moment où la datte a eu droit à tous les égards, tous les encouragements, l'olive et l'huile d'olive étaient reléguées aux oubliettes ! De nos jours, le retour à la culture oléicole est laborieux, les jeunes n'ont pas appris les pratiques et les usages en la matière. Tout est à réapprendre en somme !
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#Posté le samedi 17 février 2007 09:25

Tizi-OuzOu

Tizi-OuzOu

Donc vala une des plus belles villes d'Algérie!!
Tizi OuzOu!!

c la ou habite ma grand mère maternelle. (alala tu sa me mank)

Elle est magnifique cette ville, serieux...
frchm la ba jpass vraiment de trè bonne vacance
avec mes couzin(e)s mes grand parent mes oncles mes tentes
et des potes ac ki je joue o foot

que de bOns souvenirs en ft!!

Tout sa me mank trOp en fait!!
Vivement cette été, on remet sa!!
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#Posté le samedi 17 février 2007 09:31

Zizou et les “Kabyles internautes”

Maintenant que Zinedine Zidane remercie le président de la République, ses “avocats” vont faire semblant de n'avoir rien lu, ni entendu. Ces derniers avaient, souvenons-nous, crié à la manip de Bouteflika et qualifié la visite de Zizou de “grande erreur”. Ils ont tenté de présenter la star mondiale, capitaine de l'équipe de France, comme un mineur ne connaissant rien au monde politique, à ses arcanes et aux manipulations qui peuvent en résulter. En déclarant sa fierté d'avoir reçu la plus haute distinction du pays, Zidane coupe court aux “conseils amicaux” et assume sa démarche envers le pays de ses parents pour lequel il a beaucoup d'affection et de tendresse. En adressant ce message de remerciements, il a exprimé sa gratitude au président de la République pour tous les honneurs qui ont jalonné sa visite, et au peuple algérien - notamment la jeunesse - pour l'accueil chaleureux et fraternel qu'il lui a réservé. Les politiques qui “analysent” et “décortiquent” les évènements ont eu pour leur grade, puisqu'il sont passés à côté.

Les Kabyles de la troisième dimension, ceux qui s'identifient comme “internautes kabyles”, et qui ne se sont pas privés durant la visite de Zidane d'être plus Kabyles (à partir d'Europe, d'Amérique ou d'Australie) que ceux de Kabylie, auront-ils le courage et l'humilité d'écrire des mails pour dire que Zidane est libre de faire les voyages qu'il veut faire ?

Auront-ils le courage et l'humilité de nous épargner à l'avenir leurs messages haineux, si d'aventure un autre Algérien-même d'origine seulement - revenait au pays de ses parents ? Cette secte est convaincue que “l'Algérie doit changer” que “le système doit partir”, et nous conseille pour ce faire de bâtir la nouvelle Algérie, et de changer le système avec... un clavier et une souris. Zidane, quant à lui, espère et aspire changer les choses qui sont à sa portée, et pour ce faire, il donne de son temps et de son argent. Il reviendra au printemps et sera aussi bien accueilli, sinon mieux, que la première fois.

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#Posté le samedi 17 février 2007 09:33

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